Prières Bien Etre & francemarc13janvier@live.fr

Je crois en Dieu, le Père tout-puissant,créateur du ciel et de la terre ;et en Jésus-Christ,son fils unique,notre Seigneur,qui a été conçu du Saint-Esprit,est né de la Vierge-Marie,a souffert sous Ponce Pilate est mort et a été enseveli,est décendu aux enfers,le troisième jour est ressuscité des morts,est monté aux cieux,est assis à la droite de Dieu le Père tout-puissant, d’où il viendra juger les vivants et les morts.à la résurrection de la chair Je crois en l’Esprit-Saint,,à la sainte Eglise catholique, à la communion des saints, à la rémission des péchés,à la résurrection de la chair,à la vie éternelle. Amen.
Notre Père
Notre Père qui êtes aux cieux. Que votre nom soit sanctifié. Que votre règne arrive. Que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donnez-nous aujourd'hui notre pain quotidien. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous laissez pas succomber à ta tentation. Mais délivrez-nous du mal.
Je vous salue, Marie
Je vous salue, Marie pleine de grâce ;e Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus,e fruit de vos entrailles, est béni.Sainte Marie, Mère de Dieu,priez pour nous pauvres pécheurs,maintenant et à l’heure de notre mort..
Amen.

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Je crois en Dieu, le Père tout-puissant,créateur du ciel et de la terre ;et en Jésus-Christ,son fils unique,notre Seigneur,qui a été conçu du Saint-Esprit,est né de la Vierge-Marie,a souffert sous Ponce Pilate est mort et a été enseveli,est décendu aux enfers,le troisième jour est ressuscité des morts,est monté aux cieux,est assis à la droite de Dieu le Père tout-puissant, d’où il viendra juger les vivants et les morts.à la résurrection de la chair Je crois en l’Esprit-Saint,,à la sainte Eglise catholique, à la communion des saints, à la rémission des péchés,à la résurrection de la chair,à la vie éternelle. Amen.
Notre Père
Notre Père qui êtes aux cieux. Que votre nom soit sanctifié. Que votre règne arrive. Que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donnez-nous aujourd'hui notre pain quotidien. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous laissez pas succomber à ta tentation. Mais délivrez-nous du mal.
Je vous salue, Marie
Je vous salue, Marie pleine de grâce ;e Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus,e fruit de vos entrailles, est béni.Sainte Marie, Mère de Dieu,priez pour nous pauvres pécheurs,maintenant et à l’heure de notre mort..
Amen.
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Pour se ressourcer, et trouver réconfort dans la prière.

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    Histoire de l'Angelus

    francemarc
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    Histoire de l'Angelus Empty Histoire de l'Angelus

    Message par francemarc Lun 4 Mai - 12:26

    Histoire de l'Angelus IMG_251






    Image de
    l’Angélus Jour après jour, réciter l’Angélus nous aide à entrer
    avec consentement dans le plan d’amour que Dieu a prévu pour chacun
    Longtemps
    populaire et souvent récité privément ou en famille, l'Angelus, faussement
    attribué à Urbain II prêchant à Clermont la première croisade mais lentement
    élaboré entre le XIII° et le XVI° siècle, est une prière liturgique dialoguée
    que l'Eglise recommande de faire, en dehors du temps pascal où il est remplacé
    par le " Régina caeli ", le matin, le midi et le soir, au
    son de la cloche, pour confesser le mystère de l'Incarnation en rappelant l'Annonciation.
    Il s'agit de trois " Ave Maria ", précédés chacun d'un verset et de
    son répons, l'ensemble étant conclu par une oraison, elle aussi introduite par
    un verset avec son répons. Les trois ensembles initiaux verset-répons sont tout
    droit puisés dans l'Ecriture ; les deux premiers dans le récit de
    l'Annonciation de l'évangile selon saint Luc (I 28-35 et I 3et le troisième
    dans le prologue de l'évangile selon saint Jean (I 14), tandis que le dernier
    est une invocation coutumière du secours de la Vierge, avec son oraison propre.
    Il est convenable de sonner trois coups de cloche aux trois premiers versets et
    trente-trois coups ou une longue volée pour l'oraison Cette prière , longtemps
    intitulée " pardon " en raison des nombreuses indulgences
    dont on l'avait enrichie, a pris, au milieu du XVII° siècle, du premier mot que
    l'on y dit, son titre actuel, " Angelus ", d'ailleurs
    souvent encore inusité en Italie où on la nomme plus volontiers " Ave
    Maria ".


    A partir du synode de Caen de 1061, se propagea dans les villes
    l'habitude de faire sonner une cloche en fin de journée, tant pour marquer la
    clôture des travaux que pour appeler les fidèles à la prière avant qu'ils se
    retirassent chez eux. Nulle indication de prière particulière ne semble avoir
    été donnée et ce n'est qu'au XIII° siècle, que le pape Grégoire IX ordonna que
    l'on priât pour les croisés et que saint Bonaventure demanda aux frères mineurs
    d'y faire réciter un " Ave Maria " (chapitre général de
    1269). Il était alors depuis longtemps courant, dans un grand nombre de
    monastères, surtout ceux qui servaient d'alumna, qu'après les complies, on fît
    réciter aux enfants, pendant que les moines disaient les trois oriationes et
    que sonnait la cloche, trois prières qui devinrent des " Ave Maria " ;
    c'est cette pieuse coutume qui se répandit dans le peuple, surtout grâce aux
    efforts des franciscains, et dont on trouve pour la première fois, en Hongrie,
    réglementée l'obligation enrichie de dix jours d'indulgence (synode d'Esztergom
    de 1309). La récitation vespérale d'un ou de trois " Ave
    Maria " se répandit d'autant plus rapidement que c'était un moyen
    efficace d'apprendre aux fidèles une formule de prière qui venait seulement
    d'être composée dans la forme que nous connaissons encore aussi, dès le début
    du XIV° siècle, intéressa-t-elle les papes. Si l'on peut douter que, de
    Carpentras, en 1314, Clément V y attacha dix jours d'indulgence, il est en
    revanche sûr, qu'en 1318, Jean XXII accorda une indulgence de dix jours à tous
    ceux qui réciteraient, à genoux, trois " Ave Maria " en
    entendant la cloche du soir qui pouvait être ou non distincte de celle du
    couvre-feu mais qui, en tous cas, lui est historiquement antérieure ; d'aucuns
    pensent que les trois triples sonneries, les plus anciennes, appartiennent à la
    dévotion alors que la volée serait le signal du couvre-feu dont la conjugaison
    avec le ou les " Ave Maria " (l'évêque de Winchester
    voulait que l'on allât jusqu'à neuf) n'est attestée qu'au cours du XIV° siècle
    (Tréguier 1334, synode de Paris 1346). C'est encore Jean XXII qui introduisit
    cet usage à Rome par un décret envoyé à l'évêque Ange de Viterbe, alors vicaire
    à Rome, scellé le 7 mai 1327. Comme dans les monastères les prières qui se
    faisaient aux complies, se faisaient de la même manière à prime, l'usage du
    soir s'y appliqua aussi au matin pour se répandre dans les paroisses plus vite
    encore. Il semble que Pavie fut le premier diocèse à l'adopter, avant 1330,
    ouvrant une voie à un usage qui devint quasi universel dès avant la fin du
    siècle ; en 1390, un bref de Boniface IX au clergé de Bavière recommandait
    de faire sonner à l'aurore les cloches des églises comme, disait-il, on le
    faisait déjà à Rome et dans toute l'Italie. On ne sait trop comment est arrivée
    la coutume de faire à midi ce que l'on faisait déjà le soir et le matin,
    encore, qu'au cours du XIV° siècle, en de nombreux endroits et pour des raisons
    particulières (liturgiques, sociales ou politiques), on se mit à appeler le
    peuple à prier, au milieu du jour, par une sonnerie exceptionnelle ; ainsi,
    en 1456, fort de cet usage, Callixte III, pour conjurer le danger turc,
    ordonna, entre none et vêpres, trois " Pater " et trois
    " Ave Maria ". Louis XI prescrivit pour tout son royaume un
    " Ave Maria " à midi (1472), dévotion à laquelle Sixte IV
    appliqua trois cents jours d'indulgence. Alexandre VI confirma la décision de
    Callixte III. Le XVI° siècle équivaut les trois prières et leur donne peu à peu
    la forme que nous utilisons encore, normalisée en 1612 ; les versets et
    leurs répons apparaissent dans un catéchisme vénitien de 1560, reproduit dans
    un petit office romain de la Sainte Vierge publié sous Pie V (1568). Benoît
    XIII recommande vivement la récitation de l'Angélus (14 septembre 1734), Benoît
    XIV en porte les indulgences à cent jours (20 avril 1742), et un décret de Léon
    XIII (15 mars 1884) le réglemente jusqu'à une époque récente. Jean XXIII y
    avait ajouté la pratique de trois " Gloria Patri " (lettre
    pastorale au peuple romain du 2 février 1959) ce que ne reprendra pas Paul VI
    dans l'Exhortation apostolique " Marialis Cultus " (2
    février 1974) où, en demandant qu'on récitât l'Angelus, se refusait à le
    rénover et, dans l'enchiridion qu'il fit publier

      La date/heure actuelle est Dim 28 Avr - 3:45