Une
certaine Thérèse disait : " jusqu'alors j'avais souffert sans aimer la
souffrance et puis, un jour, j’ai senti pour elle un véritable amour ".
C'est en observant les autres, que j'ai ressenti combien heureux
j'étais. En regardant les autres vivre, je comprenais peu à peu ma
joie, mon bonheur, ma force d'être éveillé à ces choses de l'esprit.
Ces
choses de l'esprit, celles qui ne se voient pas avec les yeux, mais que
le cœur voit. Ces choses qui embellissent l'âme de celui ou de celle
qui accepte simplement sa place telle qu'elle est, sans jamais vouloir
qu'elle change. Ces choses qui font que je suis heureux d'exister. Oui,
simplement exister me rend si heureux.
Il y a une grande
différence entre prendre la vie avec résignation et l'accepter avec
joie. Vivre dans la résignation c'est voir la vie comme une épreuve,
comme une sorte d'examen à passer en se demandant si on va le réussir.
Alors que vivre dans la joie, c'est voir la vie comme un cadeau grâce
auquel on va découvrir quelque chose de soi-même.
Vivre
c'est ce que nous faisons depuis le premier instant de notre naissance
jusqu'à son dernier instant, et le fait de vivre, c'est cela notre joie
ou notre peine, notre plaisir ou notre souffrance selon le sens que
nous lui donnons.
Le sens que nous donnons à notre vie,
au début nous ne le connaissons pas de suite mais peu à peu nous
découvrons son environnement premier, puis nous y prenons sa place sans
même sans rendre compte, et enfin nous nous découvrons, et très vite
notre existence prend toute une dimension. Nous voilà entré en
conscience de soi et dés lors, nous allons apprendre à vivre. Car vivre
c'est fait de petites choses et de grandes aussi. Qu'elles soient
essentielles ou sans importance ces choses font désormais partie de
notre vie, elles nous font devenir ce que demain nous exprimerons.
Mais
aujourd'hui c'est ici, et ce que nous sommes aujourd'hui, correspond à
ce que nous avons su décider soit en acceptant soit en refusant ce
qu'il se présentait devant nous. Ces décisions, ces acceptations, ces
refus sont autant de mouvement de notre conscience qui se meut dans un
esprit universellement présent ici et partout en même temps. Cela veut
dire que c'est ce que nous avons su créer sans même nous en rendre
compte. Aujourd'hui est l'instant durant lequel nous créons et demain
sera cet instant qui nous révèlera ce que nous avons refusé ou accepté
en décidant de vivre ceci ou cela.
C'est donc dans ce
fait de vivre dans l'instant présent ou de vivre pour demain qui fait
la différence entre vivre sa joie ou souffrir sa peine.
certaine Thérèse disait : " jusqu'alors j'avais souffert sans aimer la
souffrance et puis, un jour, j’ai senti pour elle un véritable amour ".
C'est en observant les autres, que j'ai ressenti combien heureux
j'étais. En regardant les autres vivre, je comprenais peu à peu ma
joie, mon bonheur, ma force d'être éveillé à ces choses de l'esprit.
Ces
choses de l'esprit, celles qui ne se voient pas avec les yeux, mais que
le cœur voit. Ces choses qui embellissent l'âme de celui ou de celle
qui accepte simplement sa place telle qu'elle est, sans jamais vouloir
qu'elle change. Ces choses qui font que je suis heureux d'exister. Oui,
simplement exister me rend si heureux.
Il y a une grande
différence entre prendre la vie avec résignation et l'accepter avec
joie. Vivre dans la résignation c'est voir la vie comme une épreuve,
comme une sorte d'examen à passer en se demandant si on va le réussir.
Alors que vivre dans la joie, c'est voir la vie comme un cadeau grâce
auquel on va découvrir quelque chose de soi-même.
Vivre
c'est ce que nous faisons depuis le premier instant de notre naissance
jusqu'à son dernier instant, et le fait de vivre, c'est cela notre joie
ou notre peine, notre plaisir ou notre souffrance selon le sens que
nous lui donnons.
Le sens que nous donnons à notre vie,
au début nous ne le connaissons pas de suite mais peu à peu nous
découvrons son environnement premier, puis nous y prenons sa place sans
même sans rendre compte, et enfin nous nous découvrons, et très vite
notre existence prend toute une dimension. Nous voilà entré en
conscience de soi et dés lors, nous allons apprendre à vivre. Car vivre
c'est fait de petites choses et de grandes aussi. Qu'elles soient
essentielles ou sans importance ces choses font désormais partie de
notre vie, elles nous font devenir ce que demain nous exprimerons.
Mais
aujourd'hui c'est ici, et ce que nous sommes aujourd'hui, correspond à
ce que nous avons su décider soit en acceptant soit en refusant ce
qu'il se présentait devant nous. Ces décisions, ces acceptations, ces
refus sont autant de mouvement de notre conscience qui se meut dans un
esprit universellement présent ici et partout en même temps. Cela veut
dire que c'est ce que nous avons su créer sans même nous en rendre
compte. Aujourd'hui est l'instant durant lequel nous créons et demain
sera cet instant qui nous révèlera ce que nous avons refusé ou accepté
en décidant de vivre ceci ou cela.
C'est donc dans ce
fait de vivre dans l'instant présent ou de vivre pour demain qui fait
la différence entre vivre sa joie ou souffrir sa peine.