Samedi 1er mars
Seigneur, ton bâton nous guide et nous protège.
Notre vie de foi
est parfois menacée.
Qu’elle ne soit pas fragilisée par l’atmosphère
païenne
dans laquelle nous cheminons.
Imaginez qu’un dimanche à l’église, le curé tienne des propos
comme ceux-ci : « Mes frères, quand je suis venu chez vous, je ne suis pas venu
vous annoncer le message de Dieu avec le prestige de la parole et de la sagesse…
Je me suis présenté à vous, faible, et ma parole n’avait rien des discours
persuasifs… Or, il m’a été rapporté à votre sujet qu’il y a des discordes. Et
encore on n’entend parler parmi vous que d’impudicité, et d’une impudicité telle
qu’il n’en existe pas même autant chez les païens ; c’est à ce point que l’un de
vous vit avec la femme de son père !… J’ai déjà jugé l’auteur d’un tel forfait.
Que cet individu soit livré à Satan pour la perte de sa chair, afin que l’esprit
soit sauvé au jour du Seigneur. Vous êtes gonflés d’orgueil !»
Ces propos ont été écrits aux chrétiens de Corinthe ( 1ère Corinthiens, ch.
5), païens baptisés de fraîche date, qui avaient, semble-t-il, gardé des
comportements regrettables.
« Si je vous ai attristés par ma lettre, je ne le
regrette pas ; je constate qu’elle vous a attristés ne serait-ce qu’un moment…
Je me réjouis cependant, non de votre tristesse, mais du repentir qu’elle a
produit. »
Nos pasteurs doivent-ils se taire et n’avoir que des propos
lénifiants ? S’ils tenaient le langage de Paul, sévère et ferme, ne
risqueraient-ils pas de vider leurs églises ? Ce ne fut pas le cas à
Corinthe.
comme ceux-ci : « Mes frères, quand je suis venu chez vous, je ne suis pas venu
vous annoncer le message de Dieu avec le prestige de la parole et de la sagesse…
Je me suis présenté à vous, faible, et ma parole n’avait rien des discours
persuasifs… Or, il m’a été rapporté à votre sujet qu’il y a des discordes. Et
encore on n’entend parler parmi vous que d’impudicité, et d’une impudicité telle
qu’il n’en existe pas même autant chez les païens ; c’est à ce point que l’un de
vous vit avec la femme de son père !… J’ai déjà jugé l’auteur d’un tel forfait.
Que cet individu soit livré à Satan pour la perte de sa chair, afin que l’esprit
soit sauvé au jour du Seigneur. Vous êtes gonflés d’orgueil !»
Ces propos ont été écrits aux chrétiens de Corinthe ( 1ère Corinthiens, ch.
5), païens baptisés de fraîche date, qui avaient, semble-t-il, gardé des
comportements regrettables.
« Si je vous ai attristés par ma lettre, je ne le
regrette pas ; je constate qu’elle vous a attristés ne serait-ce qu’un moment…
Je me réjouis cependant, non de votre tristesse, mais du repentir qu’elle a
produit. »
Nos pasteurs doivent-ils se taire et n’avoir que des propos
lénifiants ? S’ils tenaient le langage de Paul, sévère et ferme, ne
risqueraient-ils pas de vider leurs églises ? Ce ne fut pas le cas à
Corinthe.
Seigneur, ton bâton nous guide et nous protège.
Notre vie de foi
est parfois menacée.
Qu’elle ne soit pas fragilisée par l’atmosphère
païenne
dans laquelle nous cheminons.